Ghada est une gynécologue engagée et une maman de trois enfants. En 2016, elle ouvre la Maison des Femmes à Saint-Denis pour venir en aide aux femmes victimes de violence. Ghada se bat contre les stéréotypes de genre au quotidien. Pour réussir, elle conseille aux jeunes femmes de s'émanciper des diktats de la société, de s'affranchir de tout obscurantisme, et d'investir dans leur potentiel intellectuel
Amalthea s'engage auprès de la Maison des Femmes. C'est une structure réunissant dans un même lieu des services qui répondent à différentes problématiques: Planning familial et IVG (accès à la santé sexuelle et reproductive), situation de vulnérabilité (violences, précarité, exclusion), réparation et suivi de femmes victimes d'excision
Gynécologue engagée, fondatrice de la Maison des Femmes, tu te bats au quotidien pour aider les femmes. D'où te vient cet engagement ?
Née au Proche-Orient, dotée de 3 frères, j'ai su très tôt que la valence des sexes, comme dirait Françoise Héritier, n'était pas la même. Aux garçons les droits, aux filles les devoirs, et pour moi c'était terriblement injuste et surtout injustifiable. Ni par la religion, ni par les coutumes, ni par une quelconque supériorité, intellectuelle ou physique. Mais je n'avais pas prévu d'en faire une cause à défendre, j'avais juste décidé que je m'autoriserais à faire tout ce qu'ils avaient le droit de faire.
J'ai donc quitté le Liban pour étudier en France, je suis devenue médecin et j'ai croisé la gynécologie-obstétrique. Cette spécialité m'a immédiatement séduite, pour toute la richesse qu'implique sa pratique. Mais elle m'a aussi mise au coeur de la vie de mes patientes, et c'est ainsi que, de consultations en témoignages, de confidences en sollicitations, j'ai décidé qu'il me fallait déborder le cadre strict de mon métier et m'intéresser à tout ce qui pouvait maltraiter les femmes ou limiter leurs droits. Créer la Maison des femmes est l'aboutissement d'un long parcours, et pour moi une belle opportunité pour défendre la cause des femmes et mes convictions.
J'ai entendu dire que tu incitais les jeunes femmes à investir sur leur cerveau plutôt que sur leur beauté. Pourrais-tu stp nous en dire plus ?
Je suis toujours attristée quand je reçois en consultation une jeune femme qui me demande de l'aider à se conforter au modèle qu'on lui impose, à savoir la plupart du temps accepter un mariage arrangé, et surtout montrer à son mari, sa famille, voire au village entier, qu'elle est encore vierge. Accepter de se couvrir les cheveux, le visage, ne plus sortir, renoncer à des études, à un métier. Ou alors quand je discute avec des patientes qui se désespèrent de voir leur potentiel de séduction entamé par l'âge, les grossesses, la prise de poids, les rides...car là encore il s'agit de modèles imposés. L'idéal de pureté et de beauté, être un objet décoratif et docile en quelque sorte. Alors j'essaie de les détendre, de les faire rire, de les amener à considérer les choses sous un autre angle. Et bien sûr, d'avoir confiance en elles, de développer leurs propres compétences, de ne dépendre de personne et de penser, choisir et décider par elles-mêmes.
C'est parfois très angoissant pour elles, l'idée qu'elles pourraient s'autoriser à, s'affranchir de...Elles me disent souvent: moi je n'embêterai pas ma fille avec tout çà, mais je ne peux pas faire la révolution toute seule. Alors je leur parle de toutes celles qui nous ont précédées, qui se sont affranchies et nous ont ouvert la voie comme les 343 salopes du Nouvel Observateur qui ont défendu l'IVG. Et je m'autorise parfois à prescrire une petite transgression, comme de prendre un amant.
Comment définirais-tu une vie réussie?
Il y a tellement de modèles de vies réussies! Peut-être que le plus important pour moi est de vivre en harmonie avec ses convictions, et de mobiliser ses compétences, son énergie et son empathie pour rendre le monde un peu plus juste et chaleureux. A chacun sa cause, mais que le bien commun soit la priorité.
Pourquoi as-tu accepté d'incarner Amalthea ?
Mère d'une jeune femme qui a donc été adolescente, et bien sûr en contact régulier avec des femmes de tous âges et de toutes conditions, je suis affligée par ce que la publicité et ses diktats leur imposent. Il n'y aurait qu'une seule forme de beauté, un modèle unique et de préférence jeune. Mais si on a le malheur d'être différent, alors de multiples et merveilleux produits magiques sont là pour nous aider. Et même si elles n'y croient qu'à moitié, elles oublient sciemment tout esprit critique et se précipitent, des fois que ça pourrait marcher. Je ne pouvais qu'être sensible à une marque qui défend des produits soigneusement sélectionnés pour leur absence d'effets nocifs, et qui encourage à prendre soin de soi sans promettre la lune!
Paul a un sens aigu du sport et de son impact environnemental. Allant au bout de ses rêves et de ses convictions, il a été un acteur important du développement du Bike Polo (polo à vélo sur bitume) en France, qui compte aujourd'hui 20 000 joueurs dans le monde. Sa passion du vélo s'accompagne d'une conscience écologique forte
Ton enfance dans un village t'a apporté un regard différent sur la vie. Pourrais-tu nous expliquer cela ?
Grandir dans une grande maison, entourée d'un immense jardin, avec une rivière et une forêt à quelques encablures fut un véritable plaisir, surtout avec trois petits frères pour faire toutes les expériences et les bêtises possibles. La vie dans un village permet une proximité et des liens sociaux assez forts avec beaucoup de monde, qui permettent de grandir dans un environnement sans stress, où la confiance, le partage et la solidarité règnent. Mon enfance dans un tel milieu m'a apporté beaucoup de choses et notamment une sensibilité environnementale. Après cette enfance joyeuse, j'ai été ravi de déménager en plein centre-ville de Toulouse et poursuivre mon apprentissage de la vie, plein de nouveaux horizons. Avec mon recul de jeune trentenaire, je dirai que mon timing enfance/adolescence, avec leurs environnements respectifs, a vraiment été génial pour mon épanouissement.
Comment devient-on champion du monde Bike Polo ?
Il n'y a pas vraiment de recette magique, même si on sait que le dénominateur commun des sportifs qui réussissent est d'avoir un mental d'acier. J'ai toujours pratiqué le sport de façon régulière et assez intense. Pour le Bike Polo, un sport pratiqué par à peine 20 000 joueurs dans le monde, les probabilités de devenir champion sont certes plus élevées qu'au football ou au rugby mais cela demande tout de même un énorme investissement. Outre les qualités purement techniques, la passion est évidemment l'atout numéro un, c'est elle qui te donne envie de progresser, d'aller te prendre des bûches en hiver sur le bitume, de craquer toutes tes économies pour voyager sur les tournois nationaux et internationaux, de véritablement t'investir à fond dans le sport, pour le sport. Ensuite il faut un peu d'ouverture d'esprit pour te lancer dans un sport aussi méconnu. Après 10 ans de football en club j'avais envie de quitter le système fédéral. Le Bike Polo rassemble ma passion pour le vélo, mon amour pour le sport collectif et mon attrait pour la culture urbaine, alternative. Après 2 ans de pratique intensive, je suis devenu champion de France (6 fois aujourd'hui), puis d'Europe (4 fois) puis du Monde (2 fois). Grâce à ces succès, j'ai eu pas mal d'opportunités avec des marques reconnues et j'ai eu la chance d'être ambassadeur d'une grande marque d'horlogerie.
En pionner que tu es, qu'est-ce que tu souhaiterais communiquer aux personnes qui sont à la poursuite de leur rêve ?
Je suis sûrement encore trop tendre pour donner des conseils de vie mais ce qui est sûr c'est qu'il faut poursuivre ses rêves, puisqu'ils sont source intarissable de bonheur. Et nous sommes tous à la recherche du bonheur, non? La volonté c'est le vecteur numéro un, même si parfois elle peut ne pas suffire car beaucoup de contexte sont différents, le cercle social, l'environnement, les ressources économiques, le soutien familial, etc. Je me considère très chanceux !
Pourquoi as-tu accepté d'incarner Amalthea ?
Ma sensibilité sur les cosmétiques a changé depuis peu. Avec l'air parisien, la natation chlorée, le vieillissement, j'ai pour la première fois ressenti le besoin d'hydrater ma peau il y a tout juste 2 ans. En véritable débutant, n'ayant jamais mis de parfum, j'ai acheté une crème basique au supermarché et c'est en discutant avec ma femme et des amis que je me suis rendu compte de tout ce qu'il se passait derrière le business traditionnel des cosmétiques, la pollution, les tests sur les animaux, les produits chimiques et bien sûr le diktat de sa publicité. Mes convictions environnementales et mes valeurs m'ont donc fait immédiatement adhérer avec la philosophie Amalthea.
Passionnée d'art et de mode, Leslie se lance dans l'aventure entrepreneuriale, après six ans au sein d'une grande maison de couture française. Grande amoureuse de la Terre, elle se donne comme mission de participer à la transformation de l'industrie de la mode, en créant de beaux produits, de qualité, de manière responsable et durable
D'où est venue ta passion pour l'art et la mode ? Qu'est ce qui t'a amené à travailler dans une grande maison de couture française ?
C'est ma mère qui m'a transmis cette passion pour l'art. Dès notre plus jeune âge, elle nous emmenait régulièrement, ma soeur et moi, dans les musées, faire le tour des expositions, pour nous éveiller. A chaque anniversaire, je recevais invariablement un livre sur un artiste. Paul Klee, Miró, Klimt, Picasso, Giacometti, Niki de Saint Phalle, Basquiat... ont bercé mon enfance. J'ai commencé à dessiner, dès que j'ai pu tenir un crayon dans ma main. Je dessinais des robes... C'est donc naturellement que j'ai suivi des cours d'histoire de l'Art et de peinture jusqu'au bac, et qu'après le lycée, j'ai intégré l'Atelier Chardon Savard, une école de mode parisienne réputée. Mais, découragée par l'aspect très technique de la formation, j'ai abandonné rapidement. A ce moment-là, je me suis sentie un peu perdue, car j'avais grandi en pensant devenir créatrice de mode.
Un stage dans le showroom presse d'Yves Saint Laurent, et les conseils avisés du directeur de la communication d'alors, m'ont permis de me rendre compte qu'il y avait d'autres métiers, champs d'action, et voies d'entrée dans la mode. J'ai d'abord suivi des études de communication à l'Université Américaine de Paris, suis partie étudier quelques mois à New York, puis à Florence, où j'ai effectué un Master en fashion brand management à Polimoda. J'ai intégré le service événementiel d'une grande maison de couture française à la fin de mon master. Le département était en pleine croissance, et j'ai eu l'opportunité de rester, et de grandir. J'y ai travaillé presque 6 ans, en évoluant rapidement de stagiaire à chef de projets, et organisé des défilés et événements un peu partout dans le monde. Un rêve.
Et aujourd'hui, une envie de changer de vie. Tu viens de quitter ton travail pour te lancer dans l'aventure entrepreneuriale. Qu'est ce qui t'a motivée pour te lancer ?
Je n'ai jamais eu de vocation à proprement parler pour l'événementiel. Je suis d'une nature rêveuse, mais très organisée, c'est la raison pour laquelle j'avais des prédispositions pour ce métier, mais il me manquait quelque chose. J'ai toujours eu besoin de créer, et ce besoin est tout simplement devenu vital ces dernières années. Passer le cap des trente ans a également été décisif; je me suis dit que c'était le moment de réaliser mes rêves.
J'ai appris que tu étais une adepte de yoga. Qu'est-ce que cette pratique t'apporte ?
Oui. Le yoga est une pratique holistique, qui m'a permis de me reconnecter avec mon corps, d'apprendre sur moi et de trouver un équilibre, car il s'agit d'une recherche à la fois physique, psychologique, énergétique et spirituelle.
Pourquoi as-tu accepté d'incarner Amalthea ?
J'ai rencontré Maryll alors que nous nous trouvions toutes deux à un tournant de vie, quelque peu similaire. Sa démarche, essayer de changer les préconceptions pour notre bien-être et celui de la planète dans une industrie saturée, répond à la mienne, et me parle. Je me maquille très peu et utilise un minimum de produits de beauté, mais la lecture de la composition de certains des produits de beauté que nous utilisons au quotidien peut glacer le sang. L'industrie des cosmétiques est extrêmement polluante, et affecte principalement et directement les océans. A partir du moment où nous sommes conscients de cette réalité, comment continuer de consommer ces produits? Amalthea offre une alternative responsable et intelligente; moins de produits, seulement ce dont la peau a besoin, en respect avec l'environnement.
Graziella, maman de deux enfants, n'arrête jamais entre sa vie professionnelle et sa vie familiale. Les lettres anciennes, la littérature ou encore la politique n'ont plus de secret pour elle. La simplicité est une valeur fondamentale dans sa vie, où elle y retrouve une certaine justesse, vérité
Ce n'est pas courant d'être diplômée de lettres anciennes. Pourrais-tu nous expliquer un tel choix ?
Ce choix s'est déterminé au fil de mon parcours scolaire puis universitaire. J'ai toujours voulu y préserver l'étude des langues anciennes comme une diversité fondamentale, le moyen d'accéder à un raisonnement et à une compréhension du monde autres que les nôtres, d'où découle une interrogation permanente. Et puis, il y a bien sûr, la beauté des textes.
Et aujourd'hui deux métiers : la politique et la littérature. Qu'est-ce que ces deux métiers t'apportent ?
Je n'exerce pas deux métiers différents, ni ne pratique aucune activité politique en tant que telle. Je travaille sur le discours, d'un côté littéraire, de l'autre politique. Cela me permet de conjuguer deux temps différents, celui de l'urgence pour la politique et le temps plus long et réflexif de la littérature.
J'ai cru comprendre que tu étais très attachée à la simplicité. Comment définirais-tu cette valeur ?
La simplicité, c'est éviter les fioritures, l'inutile, l'accessoire, pour aller à l'essentiel. On y gagne en intensité. Il n'y a pas d'élégance sans simplicité. Cela a à voir avec le dessin, lorsqu'un trait de crayon suffit à rendre l'essence d'une silhouette, alors qu'elle se perdrait dans les détails.
Pourquoi as-tu accepté d'incarner Amalthea ?
Un geste de beauté simplifié, des produits naturels et de qualité, une attention à l'environnement avec des flacons réutilisables, joliment conçus, tout cela ne pouvait que me séduire. J'aime beaucoup l'univers qui caractérise la marque, sa douceur, son attention au beau, sa distinction naturelle à travers des odeurs et des matières délicates. Rien d'étonnant pour une marque placée sous la tutelle de la mère nourricière de Zeus...
Anne-Sophie est directrice artistique. Très créative, le papier et la typographie sont ses socles. Son profond attachement à la nature se retrouve dans son quotidien et ses pratiques sportives, principalement l'escalade et le ski. Elle s'interroge sur la place de l'environnement dans la société actuelle et espère un meilleur équilibre pour demain
Comment es-tu arrivée à travailler aujourd'hui dans la direction artistique ?
J'ai toujours aimé dessiner. Depuis toute petite, c'est une des rares activités qui arrive à caper mon attention. Des études d'art, en art appliqué puis aux Arts Décoratifs de Strasbourg (maintenant Heard) ont été une évidence. J'y ai découvert et appris tellement de chose, la sérigraphie notamment. J'y ai passé des jours entiers dans l'atelier, à faire mes encres puis imprimer sur du papier! Cette expérience m'a permis d'apprécier le papier et de développer une sensibilité particulière de l'objet imprimé. Je retiens aussi les cours de graphisme et d'histoire de la typographie qui ont complété mon apprentissage. Après avoir obtenu mon diplôme, j'ai commencé à travailler dans un studio de direction artistique, pour une marque de skis en particulier. J'ai eu la chance incroyable de travailler sur trois collections de ski. J'ai travaillé, par la suite, pour deux marques de vêtements. Ces expériences, différentes mais complémentaires, m'ont permis d'avoir une vision d'ensemble sur l'image d'une marque et ses déclinaisons. Je travaille désormais en tant qu'indépendante. C'est un nouveau challenge!
Quel est ton lien avec la nature ? Comment se retrouve cet attachement dans ton quotidien et tes pratiques sportives ?
Habitant à Paris, la nature, c'est toujours un peu compliqué évidement. Mais je crois que mon lien avec la nature est d'abord un lien familial. Mes grands-parents étaient agriculteurs. Même si mes parents n'ont pas choisi cette voie, ils sont toujours restés attacher à la terre et aux ballades. La nature évoque, pour moi, l'évasion et le respect. J'ai l'impression que c'est encore plus le cas pour ma génération. Il est vrai que je suis particulièrement attentive au respect de l'environnement. J'essaie au quotidien de faire attention aux petits détails et de me remettre en question par rapport à mes habitudes. Je me déplace en vélo toute l'année, et je cuisine énormément en essayant de réduire au maximum mes déchets.
Mes pratiques sportives sont assez liées à la montagne, un environnement en plein changement à cause du réchauffement climatique. Cela se traduit par la fonte des glaciers évidemment mais aussi par des changements brutaux parfois dangereux. En hiver, je fais du ski et du ski de randonnée. Ce dernier peut être assez physique sur la montée mais quelle sensation à la descente ! Cela permet aussi de sortir des sentiers battu, de contempler des mers de neige entre deux montages, le tout à la force des jambes! Puis en été c'est l'escalade, une autre facette de la montagne. C'est l'osmose totale avec la nature! C'est un sport qui demande une extrême concentration, de la technique, et un peu de force pour pouvoir tenir et grimper sur des tous petits bouts de cailloux! J'en profite pour admirer les forces de la nature en pleine action, comme cet arbre qui semble pousser sur la roche ou encore cette toute petite plante poussant dans un mini-trou. Mes pratiques sportives me poussent à faire avantage attention à l'environnement parce que tout est interdépendant à mon sens.
Il semblerait que cette passion t'amène aussi à voyager. Pourrais-tu nous raconter ton dernier voyage au Japon ?
Généralement je vais skier dans les Alpes, à Noël en général, et puis j'y retourne en février si possible. Cette année j'ai fait les choses un peu différemment, je suis allée skier au Japon. C'était aussi l'occasion de découvrir ce pays, du Nord au Sud pendant un mois, accompagné au début et puis seule à la fin. Le Japon est un paradis pour le ski. Il y a de la neige en quantité. Selon les endroits, elle est assez légère ce qui est absolument parfait avec des skis de free ride. C'était l'occasion de skier sur des terrains de jeu inconnus pour nous, des volcans! Et, qui dit Volcan, dit Onsen! Ce sont des bains chauds naturels japonais, soit à l'extérieur, soit à l'intérieur. On en retrouve dans quasiment tout le Japon. Cela fait partie de leur culture. L'Onsen est tout un rituel et, surtout, un moment pour soi. Un Onsen m'a particulièrement marquée, parce que nous y sommes allés en ski de randonnée. La route était fermée à cause de l'enneigement. C'était assez surréaliste! Quelle sensation incroyable après 4 heures de ski de pouvoir s'immerger dans un Onsen naturel à 40°C alors que la température extérieure était de -10°C et que tout est recouvert de neige! Après cette découverte, l'Onsen était devenu une pratique quotidienne, avant ou sans ski!
Pourquoi as-tu accepté d'incarner Amalthea ?
La cosmétique a toujours été pour moi un monde un peu obscur. J'étais complément perdue par l'offre. Je dois également avouer mon manque de confiance dans les compositions des produits. J'avais toujours cette impression de manque de transparence. Tout le packaging me semble beaucoup trop compliqué.
D'une part, j'ai été assez séduite par la simplicité, par l'exigence des produits et des matières utilisées. Puis d'autre part, cette démarche autour d'un packaging durable et responsable m'a touchée. Amalthea me permet d'avoir une gamme de soins qui soit en accord avec mes convictions.